Le Théâtre Alsacien Strasbourg poursuit sa saison théâtrale avec la reprise d'un grand succès de Raymond Weissenburger « Goodbye Pfefferminz ». Cette comédie laisse à nouveau la part belle au rire et à la bonne humeur, un moment doux et rafraichissant, comme Raymond Weissenburger nous les offre depuis plus de trente ans. L'auteur du nord de l'Alsace a signé toute une série de chefs d’œuvres joués par le TAS, comme « Babyboom in schwarz-wiss » ou « Alleluja hit isch Oschtere », entre autres.
Dans la famille Kraut, Camil, chef d'entreprise sérieux et travailleur cherche à agrandir son entreprise. Son frère jumeau, surnommé Pfefferminz, artiste de son état, ne pense qu'à passer de bon moments dans les bras de Suzy, sa douce bien-aimée. Albertine, la maman des jumeaux Kraut, aimerait retrouver le grand amour avec Oscar qui lui fait la cour assidûment. Camil aimerait marier sa fille Caroline avec Archibald, le fils du riche banquier Sauersüss. Et Pfefferminz n'a qu'une idée en tête, ouvrir une école de danse afin de garder les faveurs de Suzy. Mais pour Camil rien ne se passe comme prévu, les quiproquos vont s'enchaîner, et les couples vont se croiser, et se mélanger dans un ballet étourdissant et drôle à souhait.
Pierre Spegt met en scène cette troisième production de la saison du Théâtre Alsacien Strasbourg. Philippe Ritter se glisse en alternance dans le rôle de Camil et de Pfefferminz, Andrée Blum joue la femme, Fabienne Scharwatt la mère, Bénédicte Keck la fille, et Carole Werner, la compagne. Les trois prétendants, Jérémy Fischer, Julien Henni et Louis Hoennige complètent la distribution avec Nicole Burckel et Christian Laffert. |