Théâtre Alsacien Strasbourg
 
 

La newsletter du TAS, n°18

Au mois de février, le TAS a été fier de proposer, à contre-courant de sa programmation habituelle, «De Journal vun de Anne Frank», d'après «Le Journal d'Anne Frank», d'Eric-Emmanuel Schmitt, un drame poignant porté par des acteurs transfigurés par la beauté et la profondeur du texte et la mise en scène gracieuse, comme en apesanteur, de Pierre Spegt. L'alsacien sait en effet aussi être la langue de l'intime et donc de l'universel. Mais pour finir la saison en beauté, après le drame qui parle à l'âme, vient le temps de la comédie qui réunifie. Avec «Potiche», Barillet et Gredy, avec leur humour à la fois élégant et mordant, moquent cette bourgeoisie qui tient à ce que chaque chose et personne garde soigneusement sa place. Une farce drôlement féministe et donc résolument moderne ! Pour l'occasion, Christian Laffert nous parle de son rôle, mais aussi de son engagement au sein de la troupe et de son parcours de comédien. Pour finir, découvrez en avant-première le programme de la prochaine saison que nous aurons le plaisir de partager avec vous dès le 3 novembre prochain. D'ici là, nous vous souhaitons un très bel été !

  

«E gueti Trütsch»

D'après «Potiche», de Barillet et Gredy

Adaptation d'Elisabeth Ritter et Stéphanie Schaetzlé

Mise en scène : Jean-Paul Zimmer

Le Théâtre Alsacien Strasbourg achève sa saison théâtrale avec la création de «E gueti Trütsch», l'adaptation en alsacien de la comédie « Potiche », grand succès de Barillet et Gredy, avec l'inoubliable Jacqueline Maillan, mise en scène au cinéma par François Ozon en 2010, avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu et Fabrice Luchini.

Le personnel de l'usine de parapluies Sonnendeck déclenche un vaste mouvement de grève pour protester contre la dictature de leur P-DG, le tyrannique et colérique Robert Sonnendeck. En apprenant la nouvelle, Robert échappe de peu à un infarctus ; il doit s'éloigner de l'usine et songer sérieusement à se soigner. C'est sa femme, la naïve et soumise Suzanne, qui devra assurer l'intérim en son absence. Mais celle qu'on traitait volontiers de «potiche» se révèle une femme d'affaires à la fois efficace et souriante, au passé beaucoup moins rangé qu'on ne le pensait...

 

Jean-Paul Zimmer met en scène cette dernière production de la saison théâtrale du Théâtre Alsacien Strasbourg. Les différents rôles sont interprétés par Andrée BLUM, Christian LAFFERT, Philippe RITTER, Julien RIEHL, Sophie PAULI-RINCKEL et Cathie GEORGER.

 

Les représentations sont données sur la scène de l'Opéra, place Broglie, à Strasbourg. Le spectacle joué en alsacien est entièrement surtitré en français.

 

Représentations :

en soirée, les 26, 27 et 28 avril à 20 h

en matinée, le dimanche 29 avril à 14h et 17h30

 

Les billets sont en vente à la caisse de l'Opéra de Strasbourg, place Broglie, de 12 h 30 à 18 h 30, à la Boutique Culture, et directement sur le site du Théâtre Alsacien Strasbourg : webtas.fr 

 

Renseignements et réservations
au 06 33 260 300, de 9h à 12h et de 14h à 18h
ainsi que sur
webtas.fr

 

 

 

Distribution :

 

Andrée Blum Suzanne Sonnendeck

Christian Laffert Robert, son mari

Sophie Pauli-Rinckel Joëlle, leur fille

Julien Riehl Laurent, leur fils

Philippe Ritter Maurice Meyer

Cathie Georger Nadège, la secrétaire de Robert

Thibaud Lecluse Didier, le secrétaire de Suzanne

  

 

 

 


 

De nejgierig Storich mecht wisse

 

C'est enfant que Christian Laffert a découvert les feux de la rampe, dans le sillage de sa mère Marie-Louise, comédienne bien connue du TAS. Depuis, il a fait ses preuves en incarnant des personnages forts, en imposant en même temps sa belle stature et son charme débonnaire. Tout sourire, sur une terrasse baignée par les rayons de soleil encore pâles mais têtus du printemps, il évoque son goût de la scène, qui n'est pas allé de soi, mais aussi son engagement au sein du comité directeur et son amour de Strasbourg.

Dans « E gueti Trütsch », tu incarnes Robert Sonnendeck, l'un des personnages principaux, créé à Paris par Jacques Jouanneau. Parle-nous de ce personnage et de la manière dont tu travailles le rôle.

Bien sûr, je garde le souvenir de la pièce créée par Jacqueline Maillan et retransmise à la télé à l'époque de « Au théâtre ce soir ». Généralement, je ne regarde pas les captations des pièces avant de reprendre des rôles, mais là je n'ai pas pu m'en empêcher. J'en ai vu deux versions différentes et j'ai été agréablement surpris de voir que le texte fonctionnait très bien avec d'autres comédiens. J'ai pu donc chercher mes propres intonations et suivre en toute confiance les indications du metteur en scène. C'est un travail en étroite collaboration. Parfois, on ne saisit pas toujours où le metteur en scène veut nous faire aller. Surtout que ce Robert Sonnendeck n'est pas un rôle évident. J'ai mis du temps à le sentir. Il est assez loin de moi : sadique et tordu, il martyrise ses employés, trompe sa femme et se croit le centre du monde. Bref, il est tout ce que l'on peut détester dans ce monde ! Je n'ai pas eu souvent à incarner ce genre de personnages. Ça me titille et ça me travaille tout le temps. Je suis toujours en phase de recherche. Tant que je ne le sens pas, je ne suis pas satisfait. Mais à vrai dire, je suis rarement complétement satisfait ! C'est le public, par sa réaction, qui valide mon travail. D'ailleurs il réagit parfois sur des choses auxquelles on ne s'attend pas, ce qui montre qu'on n’a pas toujours saisi ou mesuré toutes le sens ou les subtilités de la pièce moment des répétitions. C'est lors de la dernière représentation que j'atteins généralement le degré de satisfaction maximum.
Quand on travaille le rôle d'un personnage historique, c'est une autre démarche. On découvre des facettes insoupçonnées de gens qu'on croyait connaître, on tente de percer le secret de leurs pensées. J'ai joué Johannes Tauler, Charles de Foucault ou encore Charles Spindler... même si la prestation est plébiscitée par le public, on sait qu'on ne livre qu'une image partielle et partiale du personnage et qu'on tente de se rapprocher au mieux possible de la réalité en tant que telle.
Parfois pour des grands rôles, je ressens tout ce travail comme une compétition sportive, à cause du dépassement de soi, de la rigueur physique et de l'exigence que cela nécessite pour arriver à la réussite. Je me souviens d'ailleurs d'une pièce où je me suis carrément fait une déchirure musculaire. C'était « Minner Mann isch e Perl ». J'étais constamment sur scène, sous la chaleur des projecteurs, et je ne pouvais pas sortir de scène pour boire un peu d’eau. Au fil des représentations, j'ai été progressivement déshydraté, et lors de la dernière, j'ai ressenti comme un coup de poignard au mollet au moment du rideau final. Le public m'a vu grimacer de douleur. J'ai mis 6 mois à m'en remettre ! Je me souviens de la tête de mon médecin quand il m’a ausculté. Il m’avait dit d’arrêter le foot. J’ai répliqué en lui disant que cela c’est passé en jouant au théâtre. Je ne sais toujours pas aujourd’hui s’il m’a cru. L'aspect physique de notre implication sur scène n'est pas anodin. Il faut une bonne préparation et de l’énergie pour rentrer pleinement dans son rôle.

Tes débuts au TAS sont un peu particuliers...
Ma mère, Marie-Louise Laffert, est en effet comédienne du TAS depuis de longues années. Enfant, je suis allé voir les Märle, les contes de Noël, mais ce n'est qu'au début de l'adolescence que le théâtre a véritablement croisé ma route. Quand le TAS a programmé « D'r Goggelser Messti », de Georges Grimm, durant la saison 1970-1971, il fallait de nombreux enfants pour faire de la figuration. J'avais 12 ans et mon frère Pierre était un peu plus âgé que moi. Ma mère nous a simplement dit « Hop, ihr mache mit ! ». Je me suis retrouvé aux côtés des enfants des autres comédiens : Dominique Spegt, Danièle Missud, Nicole Burckel et j’en oublie... Nous nous sommes beaucoup amusés et j'ai renouvelé l'expérience avec plaisir l'une ou l'autre fois après ça en faisant de la figuration, en chantant ou en assumant quelques lignes de texte par-ci par-là.
Mais ça n'a pas vraiment été décisif : je suis rapidement entré dans le monde du travail, et parallèlement, je faisais beaucoup de sport, de l'haltérophilie, ce qui monopolisait pas mal de mon temps libre.
Quand Michel Burtscher a quitté notre ensemble, il m'a dit « Tu verras, dorénavant c'est toi qui hériteras des rôles de princes ». Et ça n'a pas raté : mon premier prince, je l'ai incarné en 1987-1988. Je n'avais pas loin de 30 ans. C'est Jean-Paul Zimmer qui m'a mis le pied à l'étrier, comme souvent avec les plus jeunes : dans « De Wiehnachtswunsch », il m'a confié le rôle du Prinz Sunnestrahl. C'était un vrai rôle, j'étais dans tous les actes. Tout le monde a été très gentil avec moi, mais je pense que je n'étais pas terrible. Je portais de beaux collants et une perruque blonde. J'étais très mal à l'aise. En plus, quand je suis arrivé sur scène, à la générale, les personnes qui étaient dans la salle ont lancé des sifflets appréciateurs et moqueurs, ça n'a rien arrangé ! Et puis ma voix sortait mal, on me rappelait sans cesse « Lüttersch ! Lüttersch ! », parce qu'on ne m'entendait pas. Bref, c'est une expérience que j'ai eu un peu de mal à apprécier. Heureusement, l'année suivante, Jean-Paul Zimmer m'a confié un nouveau rôle de prince dans « D'r Prinz Babedeckel ». Touché par la confiance que me faisait le metteur en scène, cette fois, je me suis senti bien plus à l’aise, j'ai énormément travaillé mon texte, la magie a opéré et le déclic a eu lieu : je suis devenu accro au théâtre ! A partir de là, on m'a confié des rôles de plus en plus importants, des princes, toujours, mais aussi des compositions ou des rôles comiques. Je garde des souvenirs très fort de nos disparus, Félice Haeuser, Robert Fuger, Edmond Reinbold, Gilbert Wolff, François Krieger, les Burckel, et aussi Jean-Paul Frindel, qui était comédien et metteur en scène et aussi très bon chanteur. Il était très exigeant et savait se montrer très dur à l'occasion, mais c'était toujours pour la beauté du théâtre. Ma mère, dans ces rôles comiques, m’a fait également énormément rire, mais aussi Pierre Spegt, Andrée Blum et Philippe Ritter qui m’ont beaucoup inspiré dans mes rôles. J'ai gardé des souvenirs très forts de ma participation, modeste mais intense à « An de Grenz », d'Anne Frédérique Knecht, ou « D'Zehnerglock », d'Ernest Fuchs. Evidemment, comme tous les comédiens, j'ai connu des périodes plus ou moins fastes. Quand on joue trop, il faut apprendre à gérer son temps et son énergie pour tenir, mais on souffre aussi de ne plus voir ses proches et de ne pas être à la maison. Quand on joue moins, on le regrette aussi, mais par chance, je suis trésorier et je suis donc toujours quelque part sur le pont. L'analogie avec le sport n'est pas loin ! Les périodes de compétition comme les périodes d’entraînement me faisaient déjà le même effet.

Justement, comme ta mère Marie-Louise Laffert avant toi, tu es également membre du Comité directeur en qualité de trésorier. Peux-tu nous parler de cette mission ?
Je suis devenu représentant des acteurs à la suite de Roger Burckel, le père de Nicole. Par la suite, je suis devenu bibliothécaire. J'ai fait beaucoup de classement et j'ai commencé à codifier les pièces par année, par auteur et par saison pour simplifier le travail de recherche des pièces pour les metteurs en scène. Quand ma mère est tombée malade, c'est François Krieger qui l'a remplacée, puis quand il a été lui-même obligé de quitter ses fonctions pour raisons de santé en 2003, le Comité m'a proposé de le remplacer au pied levé. J'ai ensuite été régulièrement élu dans cette fonction. J'ai été très touché. Pour moi, c'est une forme de reconnaissance très importante. Les gens me font confiance et je dois de par mon engagement dans cette fonction leur être reconnaissant à mon tour. Pour le moment, je suis le trésorier qui a été le plus longtemps en poste. J'ai mis une saison entière à trouver mes marques. J'ai appris sur le tas, mais comme je suis plutôt rationnel et cartésien dans tout ce que je fais, ça s'est bien passé. Mon plus grand chantier a ensuite été d'informatiser toute notre comptabilité, ce qui a permis de tracer notre trésorerie, d’augmenter sa lisibilité ainsi que notre capacité d’analyse et de gestion. A l'époque de ma mère, cette gestion de notre association me paraissait volumineuse mais pas si compliquée : aujourd'hui, avec l’évolution de la législation c'est devenu autre chose ! J'ai également insisté pour que nous mettions en place des fonctions complémentaires comme le trésorier adjoint, poste qu’occupe Bruno Jung avec brio. Plus tard avec le poste de rédactrice et le renouvellement du poste de secrétaire adjoint, nous avons su renforcer efficacement notre comité pour assumer la lourde charge de travail, souvent invisible aux yeux de tous, à laquelle nous sommes continuellement confrontés. Le Comité directeur (président, vice-président, secrétaire et trésorier) dirige et donne les impulsions, mais c’est bien grâce à la participation et au travail effectué individuellement par chacun des membres de l'ensemble de la Commission de Théâtre que les décisions pour la bonne marche de notre théâtre peuvent être prises de façon efficace.

Que représentent pour toi les 120 ans de la troupe que nous fêtons cette année ?
Quand je lis dans le journal que telle association ou institution fête ses 200 ans, par exemple, je me dis souvent « Mais qu'est-ce que c'est que ce vieux machin ?! ». Pourtant, vu de l'intérieur, j'ai envie de tirer mon chapeau au TAS, parce que notre longévité prouve qu'on a toujours su gérer ce qu'il fallait et quand il le fallait pour être toujours là. On a su continuer à intéresser le public, qui n'est plus le même que celui des débuts mais qui, lui aussi, est toujours là ! Ce jubilé montre qu'on a su s'adapter aux différentes époques. Et nous pouvons en être très fiers !

Quel est ton souvenir le plus marquant au TAS ?
Peut-être l'expérience contrastée de ces deux rôles de princes que j'ai évoquée tout à l'heure. Ou encore d'avoir joué aux côtés d'Eric Muller dans « De Gitzhals », d'après « L'Avare », de Molière, dans une adaptation de Richard Stroh : je me souviens des rôles de nains, d’écureuils, des rôles de personnages historiques, comme des autres rôles comiques. En fait, j'ai comme un effet de « souvenir permanent » : je me souviens avec la même intensité de détails qui peuvent paraître insignifiants que des rôles très applaudis : tout me revient à peu près au même niveau. Et il n'y a pas que les souvenirs de la scène, mais aussi des repas de fin de saison, des Assemblées générales, des réunions de Comité. Les affinités, les relations affectives, la confiance, la reconnaissance : je perçois ça en permanence et je pense que ça contribue à me construire dans ce que je suis.

Pour finir, quel est ton lieu préféré à Strasbourg ?
J'ai une formation de collaborateur d'architecte et suis très sensible à l'urbanisme en général. J'adore la Neustadt, mais aussi la Krutenau et le Stockfeld : des ensembles où on perçoit les projets qui les sous-tendent. Je suis également très sensible au site de l'Hôpital civil, où je travaille : des bâtiments qui furent remarquables à leur époque et qui disparaissent lentement pour le bien de l’évolution de la médecine. J'aime également les églises Saint-Thomas et Saint-Pierre-le-Jeune. Et puis évidemment, dès que je passe devant la cathédrale, je suis obligé de m'arrêter pour la regarder et l’admirer. A chaque fois elle me paraît différente selon la lumière, selon la saison. Comme cet hiver, un soir, où elle s'est parée de reflets de brume fabuleux entourant toute sa flèche. Un décor magique qui vous transporte je ne sais où avec à chaque fois le cœur un peu plus léger. Je suis très sensible à la proximité de l'eau et de la vieille pierre présente dans notre belle cité. Quand je serai à la retraite, j'irai me promener en canoë sur l’Ill, le Rhin tortu et l’Aar, pour admirer la nature et la vie sauvage qui s'y développe. Les cygnes, les poules d’eau, les canards, les ragondins et les cormorans. Oui, il n'y a pas que des cigognes, mais aussi des cormorans à Strasbourg ! J'ai hâte de me prendre le temps de les observer au cœur de notre très belle ville.

Propos recueillis par Stéphanie Schaetzlé


 

Plus d'informations exclusives dans notre programme,
en vente lors des représentations auprès des ouvreuses

 

Découvrez en avant-première
le programme de la nouvelle saison

Chères spectatrices, Chers spectateurs, Cher(e)s abonné(e)s,

Après une 120e saison plébiscitée par les spectateurs, le Théâtre Alsacien Strasbourg garde le cap pour les décennies futures et propose une saison rythmée par des pièces contemporaines et plusieurs créations originales, dans l’espoir de montrer une fois de plus que notre langue peut être le vecteur d’une culture vivante, qu’elle soit classique ou moderne.
Notre engagement pour l’avenir : divertir, ne s’interdire aucune fantaisie, faire le pari de surprendre et tenter d’ouvrir des horizons, transmettre notre amour du théâtre et de la langue.
Et depuis 2010, l’ensemble de nos pièces est surtitré en français, pour permettre au plus grand nombre de partager notre passion.
Le rideau s’ouvrira le 3 novembre 2018 avec Zusatzzahl, de Simone Struss, d’après « Numéro complémentaire », de Jean-Marc Chevret, une comédie efficace et pleine de verve, dotée d’un humour décapant, nominée aux Molières en 2006. En décembre, Philippe Ritter propose, avec Unter’m Dànnebaam, un voyage à travers l’Alsace des traditions. Cette année encore, comme depuis près de 100 ans, ce conte de Noël permettra de rassembler petits et grands dans un beau moment de poésie : amenez vos enfants au théâtre pour leur faire découvrir les richesses de l’Alsace ! L’année 2019 débutera en fanfare avec Goodbye Pfefferminz, de Raymond Weissenburger, une comédie au succès éprouvé, écrite par l’un de nos auteurs les plus prolifiques. Elle sera suivie en février avec De Edelmannburjer, une création de Jean-Paul Zimmer, d’après « Le Bourgeois gentilhomme », de Molière : une belle occasion d’apprécier la richesse de l’alsacien, capable de véhiculer les plus grands textes classiques. Enfin, en mai, pour finir la saison, nous aurons le plaisir de (re)voir E Dirmel am Disch, de Richard Stroh, d’après « Le Dîner de cons », de Francis Veber, grand succès du boulevard parisien, qui réserve quelques scènes d’anthologie !
Nous sommes fiers et heureux de partager avec vous l’aventure de cette nouvelle saison théâtrale.

Bis bàll, in unser’m Theàter !


 

 

Merci pour votre fidélité.
La Direction

 

Pour suivre cette saison au rythme soutenu, n’oubliez pas que vous pouvez acheter vos places directement sur notre site Internet webtas.fr. Plus simplement encore, pour ne rien rater et bénéficier d’un tarif avantageux, nous vous invitons à vous abonner ou à offrir un abonnement à un ami. Des chèques-cadeau peuvent constituer une surprise originale pour vos proches à l’approche des fêtes. Les enfants de moins de 12 ans bénéficient toute l’année de tarifs réduits. Sur webtas.fr, inscrivez-vous à notre newsletter pour découvrir des informations exclusives sur notre saison. Profitez-en pour laisser vos commentaires dans notrelivre d’or. Enfin, découvrez dans notre programme, disponible auprès des ouvreuses lors de chaque représentation, de nombreuses infos complémentaires sur la pièce et sur la culture et les traditions alsaciennes.

 

 

 

© Copyright TAS - Février 2015- tous droits réservés