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En ouverture de sa 127e saison, le Théâtre Alsacien Strasbourg propose la création de la comédie « Nit glich, Schàtzele », librement adaptée par José Montanari de la comédie de Jean-Loup Dabadie, « Le Vison voyageur ». Cette pièce anglaise, initialement écrite par Ray Cooney, auteur britannique bien connu, enchaîne sur un rythme endiablé les situations comiques, avec quiproquos et bons mots à la pelle ! José Montanari a su parfaitement transposer en alsacien l’humour « so british » de la pièce.
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Dans les années 60, la mode est encore aux manteaux de fourrure. Dans son salon strasbourgeois, Arnold en expose de magnifiques spécimens. En compagnie de sa secrétaire Margarette, il s’extasie devant son dernier chef-d’œuvre, un splendide vison ! Steeve, l’associé d’Arnold, lui apprend que, pour séduire sa nouvelle maîtresse, il a décidé de lui offrir ce manteau, la dernière création de leur salon. Ainsi il demande à Arnold de le proposer au mari pour 500 francs et lui mettra la différence.
Les turpitudes de Steeve ne sont pas du goût du très sérieux Arnold. Mais Steeve insiste et, de fil en aiguille, Arnold se trouve rapidement dépassé par les événements. Maude, la femme de Steeve, va contrarier les plans de son mari volage au milieu d’un défilé de personnages hauts en couleur.
Le duo d’associés, Christian Laffert et Philippe Ritter, va essayer de se dépêtrer des mensonges servis à l’épouse, Barbara Jung, à la maîtresse, Michèle Mehn, avec la complicité naïve de la secrétaire, Fabienne Scharwatt. Vont défiler sur scène, une multitude de personnages loufoques, interprétés par Cathie Georger, Sophie Rinckel, Elisabeth Ritter, Jérémy Fischer, Louis Hoennige et Claude Matthiss.
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